Carrière Vila : boutique de gravier, pierre gabion, galet, sable de marbre rose

Carrière Vila & son histoire

Qui sommes-nous ?

Forte de ses nombreuses années d’expérience, Carrière Vila produit du gravier de marbre rose décoratif de différentes granulométries, ainsi que du sable rose, et les distribue à travers la France et à l’international aux principaux acteurs de l’industrie du bâtiment (entreprises de matériaux, cimentière, travaux publics) aux fins de construction et d’entretien d’infrastructures de transports, d’aménagements urbains et de loisirs.

Grâce à la noblesse et la rareté des matériaux utilisés, ainsi qu’à son grand savoir-faire, Carrière Vila vous propose des produits de prestige d’une qualité incomparable permettant la réalisation d’aménagements extérieurs durables, tant pour les particuliers que pour les professionnels.

Un peu d'histoire :

L’histoire de la carrière commence à la fin du 19ème siècle, lorsque les habitants de Vitrolles découvrent l’exceptionnelle richesse du sous-sol du Plateau surplombant la ville… Un calcaire marbrier remontant à plus de 65 millions d’années.

Au fil des décennies, la carrière du Val d’Ambla change donc d’orientation et l’exploitation du gisement s’industrialise pour répondre à une demande croissante. Autrefois extrait à la force des bras, le marbre rouge s’obtient désormais grâce à des moyens modernes. Aujourd’hui nommé Carrière Vila, le site dispose de techniques d’extraction performantes pour satisfaire ses clients, tout en préservant la valeur des matériaux nobles qu’elle exploite.

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Art & Architecture

Le Rouge étrusque

Également nommé « Rouge Étrusque », car rappelant la teinte si caractéristique des vases Étrusques des fouilles de Vulci, le « Rouge de Vitrolles » est unique.

Durant une longue période, le site a été principalement exploité par les artistes dans leurs créations d’œuvres ornementales. La Cathédrale de la Major ou cathédrale Sainte-Marie-Majeure, tout comme la basilique Notre-Dame de la Garde comptent parmi les nombreux édifices qui bénéficient d’agréments réalisés en marbre rouge de Vitrolles.

Ce marbre rouge étant d’une très grande qualité, il devient alors très prisé par les sculpteurs. 

Emily Young, sculptrice du marbre de Vitrolles :

De la carrière, à l’oeuvre d’art :

Emily Young est reconnue comme «  le plus grand sculpteur de pierre vivante de Grande-Bretagne  » – FT, 2013. «Ses sculptures méditent sur le temps, la nature, la mémoire, la relation de l’homme à la Terre» – FT. «  Young met le projet humain de sens en conjonction avec le temps géologique  » – 

R Trew EMILY YOUNG est née à Londres dans une famille d’écrivains, d’artistes, de politiciens et d’aventuriers. Sa grand-mère était la sculpteur Kathleen Scott, un collègue d’Auguste Rodin. En tant que jeune femme, Young a principalement travaillé comme peintre, après avoir étudié brièvement à la Chelsea School of Art, au Central Saint Martins de Londres et à l’Université Stonybrook de New York. Elle a quitté Londres à la fin des années 60 et a passé les années suivantes à voyager à travers les États-Unis, l’Asie, le Moyen-Orient, l’Afrique, l’Amérique du Sud et la Chine. C’est au cours de ces voyages, à la rencontre d’un large éventail de cultures, qu’elle a développé sa vision large de l’art, à la fois son histoire et sa fonction. Au début des années 1980, Young a commencé à sculpter dans la pierre, attaquant les chantiers de carrière à la recherche de matériaux mis au rebut du monde entier. L’objectif principal de sa sculpture est de rapprocher la relation entre l’humanité et la planète, une relation qui a été occultée par des millénaires de fantasmes sur la nature du pouvoir et de l’autonomie humaine. La beauté naturelle, l’histoire et l’énergie de la pierre matérielle, y compris sa capacité à incarner la conscience humaine, ont le potentiel d’étendre nos expériences d’être humain dans un vaste univers inconnaissable. Ses sculptures ont des caractéristiques uniques en raison de l’histoire géologique de chaque pierre. Son approche permet au spectateur de comprendre un point commun à travers le temps, la géographie et les cultures.

Sa préoccupation constante est notre relation troublée avec la planète, qui souligne sa pratique en studio. Dans sa combinaison de compétences traditionnelles de sculpture alliées à la technologie le cas échéant, elle produit des œuvres qui marient le contemporain avec l’ancien, manifestant une présence unique, sérieuse et poétique. Le travail de Young figure dans d’importantes collections publiques et privées à travers le monde. Elle a exposé dans de nombreux musées prestigieux, notamment: The Getty, Californie; L’Imperial War Museum, Londres; Le Whitworth, Manchester; Les jardins de sculptures de Meijer, Grand Rapids, et en 2018, le Victoria and Albert Museum, Londres. Emily Young partage actuellement son temps entre des studios à Londres et en Italie. Elle est représentée exclusivement dans le monde entier par Bowman Sculpture.

Emily Young a réalisé de nombreuses œuvres pour des établissements publics ou financiers :

 

 

Créations

Emily Young

La sculpture du "Rouge étrusque" selon Emily YOUNG :

«Lorsque je sculpte une pierre âgée d’un million d’années, je me dis toujours qu’elle pourrait encore exister dans cent millions d’années. Et à ce moment là, je ne peux m’empêcher de me demander: Qui la verrait ? Et que verrait-il ?». Tel est le leitmotiv d’Emily Young, une sculptrice londonienne qui a débuté sa carrière au début des années 70 et qui a fait connaître ses œuvres dans le monde entier.

Mais si le Vitrollien s’intéresse aujourd’hui à cette artiste, c’est que cette dernière utilise entre autre, comme matière première, le marbre rouge étrusque de Vitrolles, qui peut notamment être extrait dans la carrière du Val d’Ambla située sur le plateau. Pour réaliser ses sculptures Emily Young doit faire appelle à ses sens car c’est principalement la pierre qui, selon son apparence, sa sonorité et son odeur, va dicter son travail. «L’aspect extérieur d’une pierre est souvent un déguisement, explique t-elle: Elle peut être ancienne, terne, vieillie, mais après quelques heures de polissage, sa surface révèle souvent un monde extraordinaire de couleurs, de rayures, de points, une configuration de complexité inhumaine et de beauté». Suivant les marbres utilisés, les couleurs de ses sculptures évoquent ainsi la flamme, la chair, le nid d’abeilles, la peau de serpent, les nuages, la fonte ou la crème glacée. Mais au de l’apparence, le son et l’odeur de la pierre ont également une importance majeure dans la sélection de la pierre. 

«Sous l’effet du martèlement de l’outil, certaines pierres résonnent et le son qu’elles émettent m’indique si elles sont solides, exemptes de défauts et aptes à la sculpture, précise t-elle. De plus, une fois brisés, certains minéraux peuvent dégager un flash rapide de puanteur, de soufre, de pétrole ou d’océan, provenant d’algues ou de vieux poissons. Cette indication supplémentaire sur leur provenance peut ainsi influencer la création de la future œuvre». Bien plus qu’une matière première, la pierre est donc la principale source d’inspiration d’Emily Young. Elle s’inspire de leur passé pour prolonger leur histoire. «Je ne veux pas faire de la Pierre mon serviteur car il est évident qu’elle pourrait témoigner d’elle-même de l’histoire de la terre et de l’univers. Une histoire que les géologues du XIXe siècle ont su décoder afin de trouver l’explication de nos origines». Le calcaire marbrier de Vitrolles remonte quant à lui à 65 millions d’années. Emily le sait et compte bien éterniser par son art la désormais célèbre pierre rouge étrusque. Extrait:  Le Vitrollien.fr

Olivier Bataille, sculpteur sur marbre :

Né à Paris en Décembre 1951, Olivier Bataille suit des études d’Art dans la Capitale. Diplômé de l’Ecole Supérieure d’Art Graphique en 1978, il exerce la profession d’Architecte d’Intérieur, en libérale, jusqu’en 1993.

Conjointement, il participe au mouvement qui anime le Design en France pendant les années 80 en éditant des meubles et lampes dans une dizaine de Sociétés dont sa propre Maison d’édition, ”CATHEDRA”. En 1990, à Carrare en Italie, il s’initie à la sculpture sur marbre en taille directe. Après avoir fréquenté plusieurs ateliers à Paris et à Amsterdam, il s’installe dans le sud de la France en 1997. Depuis, membre de “La Maison des Artistes”, il se consacre entièrement au travail de sa Sculpture

« Ma sculpture est volontairement limitée au minimum, le choix de la pierre, en carrière, a toute son importance. Ce choix est déjà un geste créateur car mon intervention en taille directe prolonge ce que les accidents de la nature ont commencé.
J’évoque la figure humaine que le marbre m’inspire tout en acceptant l’accident et l’approximatif comme des champs de découvertes. Garder l’aspect brut de la pierre, en travailler certaines parties, laisser volontairement la trace des outils font partis d’une démarche qui cherche à traduire une inspiration libre, sans modèle, détachée du résultat. Malgré la résistance du matériau, mon intervention se situe dans l’instant, le spontané, l’intuitif…

Mon travail est à la sculpture ce que le croquis est au dessin. Il en résulte une sculpture évocatrice d’un souvenir enfoui, réminiscence fantomatique d’une Humanité pétrifiée dans le marbre.

« La Sculpture d’Olivier Bataille ne se situe pas dans la représentation ou la figuration au sens commun mais dans une évocation anthropomorphique qui se veut du domaine de l’émotion. L’artiste ne recherche pas la maîtrise de l’ouvrage mais cette fragilité entre équilibre et chaos qui en appelle aux origines primitives de la sculpture.
Ici, pas de questionnement mais un élan spontané dans les profondeurs secrètes de la matière minérale pour en extraire la quintessence de nos origines. Il ressort de cette anatomie allusive une esthétique rude, ouverte à l’inconscient. Des figures humanoïdes inachevées, surgissent de la roche comme les réminiscences fantomatiques d’une civilisation oubliée. »

Créations

Olivier Bataille

Le saviez-vous ?

Qu'est-ce que le marbre ?

Les Marbres de France :

Les marbres modernes désignent les marbres utilisés dans le monde occidental à partir de la Renaissance et jusqu’à nos jours. Après plusieurs siècles d’utilisation moins intensive du marbre durant le Moyen Âge, de nombreuses carrières sont de nouveau exploitées et de nombreuses autres sont découvertes, depuis environ les xve et xvie siècles sous l’impulsion des Médicis souverains de Toscane en Italie, et de Louis XIV en France.

Alors que les « marbres antiques » désignent des roches de composition très variée, les « marbres modernes » listés ici sont en majorité des roches calcaires: des vraies « marbres » au sens géologique moderne (des calcaires métamorphiques entièrement cristallisés) mais aussi d’autres variétés de calcaire dur. Les autres roches polissables, non calcaires, sont moins désignées par le terme de « marbre », on leur préfère souvent leurs noms géologiques modernes pour les différencier: granitebasalteporphyreserpentinite, etc., bien que le grand public utilise souvent le terme générique « marbre » pour désigner globalement toute roche ferme polissable.

En France, le goût pour les marbres date de Louis XIV et de son ambition fera découvrir de nombreuses carrières allant du nord de la Belgique jusqu’aux Pyrénées. 

La région des Bouches-du-Rhône compte 5 variantes de marbres :

  • Marbre bariolé blanc, rouge et jaune, localement appelé marbre de Saint-Baume ressemble beaucoup à la brocatelle d’Espagne.
  • Marbre de Tray, (ou Trest), mélangé de jaune et quelques taches grises, rouges et blanches, reçoit un très beau poli et il est extrait au lieu-dit Saint-Jean-du-Désert.
  • Marbre rouge de Vitrolles, d’une couleur que l’on nomme rouge étrusque, d’un fond rouge éclatant parsemé de taches oblongues blanches rosées entourées de jaunes et de bruns.
  • Brèche d’Aix marbre composé d’un fond jaunâtre et de petites taches grises, brunes et rouges. Il reçoit un très beau poli et est exploité dans la ville d’Alep (Syrie), et sur la commune de Beaurecueil, près d’Aix-en-Provence.
  • Brèche de Marseille, dit Brèche de Memphis, fond rougeâtre avec de petits fragments blancs, gris et bruns.. Extraits de Wikipédia

 

Le marbre rouge étrusque de Vitrolles, un calcaire marbrier unique de part sa couleur :

 

Le stratotype Vitrollien, désignation scientifique de la longue barre rocheuse qui s’étant du griffon jusqu’au Radar, est composée d’un calcaire argileux localement riche en Microcodium. Si contrairement au Rognacien, cette falaise correspondant à l’étage géologique du paléocène, ne recèle aucun fossiles de dinosaures, en revanche, sa roche présente non seulement un intérêt artistique, mais aussi industriel. La carrière est en activité depuis le début du siècle dernier. À l’époque, elle employait une dizaine d’ouvriers immigrés Italiens, qui extrayaient la roche à la force des bras. Aujourd’hui, elle s’est quelque peu modernisée. Extrait de Vitrollien.fr

Un calcaire marbrier également nommé « Rouge Étrusque », car rappelant la teinte si caractéristique des vases Étrusques des fouilles de Vulci, le « Rouge de Vitrolles » est unique. Il est d’ailleurs inventorié par le muséum et musée du marbre implanté à Bagnères-de-Bigorre (65)

De la pierre aux créations

La découpe de la pierre

ESCAVAMAR SRL s’occupe essentiellement de l’exploitation pour compte de tiers de blocs de marbre et de pierre, en collaboration avec plusieurs équipes spécialisées et formées d’un personnel expert.

La principale technique d’extraction utilisée par ESCAVAMAR SRL est la scie à fil diamanté, un câble d’acier composé d’une série d’anneaux diamantés, qui est indispensable dans la coupe des pierres dans la montagne et dans l’équerrage des blocs.

L’exploitation de la carrière a lieu en toute sécurité et dans le plus grand respect de l’environnement, sans l’emploi d’explosifs. Des techniques performantes et innovantes, ainsi que l’emploi d’équipements silencieux ont permis de réduire la production de déchets, l’impact acoustique et sur la nature en général.

Créations

Société Escavamar

 Le marbre Rouge de Vitrolles est extrait près de l’Etang de Berre , à Vitrolles, dans les Bouches-du-Rhône département du Var en France. Il est dénommé Rouge Etrusque parce qu’il rappelle étrangement le rouge particulier des vases Etrusques en argile polychrome des fouilles de Vulci.

Ce matériel , correspondant à l’étage géologique du paléogène (entre -65 et -58 millions d’années) est composé d’un calcaire argileux localement riche en Microcodium : fossile constitué d’un ensemble de petits prismes de calcaire (taille 1 à 2 mm).

Ce marbre à fond rouge éclatant est parsemé de taches oblongues, blanc rosé, entourées de jaune clair souvent doré, et de brun . Lorsqu’il est scié les larges ovales tortueux ressemblent à des limaces d’argent entourées d’un caparaçon jaune d’or. Cette texture particulière n’est pas sans rappeler par endroit le veinage de l’onyx. L’effet produit est extraordinaire, de rare beauté.

Le marbre de Vitrolles tient une belle place dans le travaux de choix et de décoration d’intérieur , il est solide , il se travaille facilement et il obtient un beau poli.

Extrait: Escavamar.com

Un peu d'histoire

Le marbre de Vitrolles, un patrimoine historique et culturel

 Jules Cantini était un sculpteur, marbrier et mécène français. Son père, Gaétan Cantini, était un maçon d’origine italienne qui réalisa la démolition de l’aqueduc de la porte d’Aix en 1823 afin de construire l’arc de triomphe. Il débute dans l’atelier de sculpture décorative que Pierre, son frère aîné, a créé rue des Beaux Arts. 

Il exploite des carrières de marbre rouge à Vitrolles puis achète des carrières de marbre en Italie à Carrare et en Algérie. Après le décès de son frère en 1851, Jules Cantini fait prospérer l’entreprise qu’il installe avenue du Prado. Il possède une scierie de marbre aux quartiers du Rouet et de Bonneveine. Grâce aux indications de Monseigneur Robert, évêque de Marseille, il découvre et exploite des carrières de marbre de couleur ivoire. 

Il réalise lui-même de nombreuses statuettes et des œuvres de plus grande taille en collaboration avec d’autres artistes. Il reçoit des commandes publiques et privées. Il décore les hôtels particuliers de Cyprien Fabre, Victor Régis ou Jules Charles-Roux à Sausset, les escaliers extérieurs du château de la Simone de la famille Rougier à Meyreuil. 

Il participe avec le marbre rouge de Vitrolles aux travaux de la Basilique Notre Dame de la Garde et de la nouvelle cathédrale de la MajorEn 1886, il offre une statue de saint Pierre de sa main pour une chapelle latérale de la basilique Notre-Dame-de-la-Garde.

Il réalisa également la statue de David, copie de l’œuvre de Michel-Ange, installée en 1949 au rond point de la plage. Il applique la polychromie, très appréciée à l’époque, aux statues, aux autels d’église ou aux cheminées qui doivent être nombreuses si on en juge par le grand nombre de dessins qu’il a effectués.

Lors de l’Exposition universelle de 1900 à Paris, l’État acquiert une statue réalisée en collaboration avec Ernest BarriasLa Nature se dévoilant à la Science, conservée à Paris au musée d’Orsay avec la mention « J. Cantini/Marbres & onyx/Marseille » figurant sur la plinthe de la terrasse2Sa fortune faite, il devient un grand mécène. Il fait un don de 100 000 francs à la Caisse d’Epargne pour la création des livrets.

 

C’est un bienfaiteur de l’École des Beaux Arts où sont créés plusieurs prix portant son nom pour récompenser de jeunes sculpteurs. En 1911, il offre à la ville de Marseille la fontaine de la place Castellane que son ami André-Joseph Allar a réalisée d’après ses dessins. Lors de son inauguration le 12 novembre 1911, le maire Bernard Cadenat compare Cantini à Crinas, ce « médecin qui avait légué sa fortune pour la remise en état des fortifications et des remparts de la cité ». On doit à ses ateliers une réplique de la statue de David de Michel Ange placée en 1949 au Rond Point de la plage du Prado, ainsi qu’une réplique d’une statue du sculpteur Pierre Puget. Il lègue à la ville et aux hôpitaux de Marseille une trentaine d’immeubles dont l’hôtel de la rue Grignan acheté à la Compagnie du Cap Nègre. Dans cet hôtel se trouve le musée Cantini actuellement spécialisé dans l’art contemporain. Le maire Eugène Pierre assistait à ses obsèques ainsi que de nombreuses personnalités. Par décret du 17 juillet 1908 il avait été nommé officier de la Légion d’honneur.

Une clinique, ainsi qu’une avenue de Marseille partant de la place Castellane en direction de l‘ancienne gare du Prado et qui longe le parc du XXVIe centenaire, portent son nom. Extraits: ciqcatellanne.fr , e-monumen.net, marseille-tourisme.com wikipédia. 

Œuvres :

  • Maître-autel, 1866 – Église Sainte-Agathe des Camoins, Marseille
  • Fontaine Cantini, 1911 – Place Castellane, Marseille
  • Maître-autel, 1891 – Église Saint-Charles-Borromée, Marseille
  • A la demande de Jules Cantini : “Fontaine Cantini”, 1911, dont Le Rhône, Le TorrentLa SourceLa Mer – Sculpteur André-Joseph Allar – Place Castellane, Marseille

Le vieux village de Vitrolles :

Construit autour d’un rocher de calcaire, le village date du Vème siècle. Dans la partie datant de l’époque médiévale, les ruelles sont disposées autour de la butte, avec des maisons étroitement serrées les unes contre les autres. 

On peut encore voir les vestiges des remparts et des maisons d’autrefois. Réchappées aussi du Moyen Age, la chapelle Notre-Dame de vie (au sommet du Rocher) et la Tour sarrasine. Dans la partie plus récente, les constructions s’échelonnent du XVIIème au XIXème siècle. Extrait: Vitrolles13.fr

Partez à travers les rues du vieux village pour découvrir un Vitrolles plus intime. 

Passant par porches, fontaines et ruelles étriquées, cette charmante balade sera l’occasion pour vous de découvrir l’histoire du vieux village et les richesses de ce terroir. 

Lors de votre excursion, vous constaterez la présence de nombreuses constructions effectuées avec la pierre de marbre d’origine locale. Toujours sur votre chemin, vous tomberez sous le charme de la fontaine de la République. Édifiée en 1894, en marbre rouge de Vitrolles, elle a été réalisée par les architectes Roucayrol et Denizet, en grande partie grâce aux dons de Jules Cantini. 

D’une remarquable originalité, sur la pyramide en marbre, se trouve un buste en fonte représentant Marianne, symbole de la République.  

 

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Nos Clients

Nous fournissons les particuliers comme les professionnels ou même les communes, nous nous engageons toujours à proposer des produits de qualité correspondant aux besoins de chacun de nos clients et des spécificités de chaque projet.   

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